Quoi de neuf ?

Échec et mâte ?

Le monde est plongé dans un esprit de profit à outrance, faisant fit des nécessités individuelles, entraînant dans un chaos tous ceux qui ne font pas partie des élus choisis par l’opportunité ou la ligné.
La richesse en guise de carotte, fait que l’homme oubli l’homme et même lui-même. Il est dans l’incapacité de considérer son prochain, seule compte sa possession. Il ne sait qu’amasser, stocker, se délecter de ses acquisitions. Il ne connaît pas de répits. Sa seule et unique pensée : «avoir plus encore demain qu’aujourd’hui». La frénésie qui l’anime l’empêche même de diversifier sa pensée. Toutes ses actions n’ont qu’un seul but, acquérir et posséder ce qu’il n’a pas encore.

Le monde en est malade, au point que la majorité des vivants se bat pour subsister. Rien n’y fait, ils restent à la traîne. Ils n’ont pas accès à ce qui peut leur permettre d’avoir un jour meilleur que la veille.
La pauvreté fait partie du quotidien et ne peut être enraillée, car le système de fonctionnement de la société ne le permet pas. Le principe pyramidal du système fait que jamais la pauvreté n’atteint le haut de la pyramide. Aucune possibilité pour qu’un changement intervienne étant donné que la totalité des institutions fonctionnent en sens unique vers le haut de cette pyramide.

La compétition n’offre aucune chance à qui voudrait sortir du lot et enrailler le système. Toujours gagner plus à chaque instant, chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année. Jusqu’où le profit pourra aller ? Étant donné que nul n’est infini, forcément à un moment le plafond sera atteint.